Ce regard qui s'épuise de tendresse
dans un sourire que déjà la mort
frôle. Homme seul dans son canot il
file le parfait bonheur de l'arbre.
Ses mains cultivent la musique des lieux.
Jean Royer
Nos corps habitables
Le Noroît, 2005
Ce regard qui s'épuise de tendresse
dans un sourire que déjà la mort
frôle. Homme seul dans son canot il
file le parfait bonheur de l'arbre.
Ses mains cultivent la musique des lieux.
Jean Royer
Nos corps habitables
Le Noroît, 2005
Des poètes...
À ce jour,
Sylvie Gaté