Et toujours dans le ciel, les grands arbres que n'atteint pas la fatigue. Tout ce qui devient urgence semble dérisoire devant cette alliance tranquille de l'arbre et de sa terre. L'ironie des nuages, sinuant leurs mèches blanches, est sourire à ce temps que nous ne cessons de perdre en pensant le gagner. |
Joseph Paul Schneider
Sous le chiffre impassible du soleil
Le Cherche-Midi