Quand la poussière de la route aura blanchi tes cheveux, quand les soleils de la saison auront altéré tes yeux, tu retrouveras en bouche et sur ta peau et dans ton cœur, le goût des arbres de l'enfance, le goût des arbres aux troncs soyeux. |
Paul Bergèse
L'arbre essoufflé de vent
Éditions du Jasmin, 2011