C'est un bouquet d'arbustes dans le rouge soufré d'un couchant d'automne. Penché sur le flanc d'un coteau en labours, il écrit, pattes de fourmi, dans la solitude du soir. Il écrit la future chanson des oiseaux du printemps. |
Paul Bergèse
L'arbre essoufflé de vent
Éditions du Jasmin, 2011