Ces deux feuilles étaient-elles mortes, déjà, hier soir ? Comment était la branche hier ?
La même histoire toujours ! Verdeur sans fin, songes d'amour et de gloire, les yeux vers l'âme éternisant les choses.
Un soir, la brise plus fraîche, l'inquiétude plus vive de l'oiseau, la lumière, plus angoissante, nous ouvrent le sens à la vérité... L'heure, déjà, était passée. L'âme, ardente, seule. | ¿Esteban ya, ayer tarde, secas estas dos hojas? ¿Cómo era la rama ayer ?
¡La misma historia siempre! Verdor sin fin, sueños de amor y glorias, los ojos hacia el alma eternizando cosas.
Una tarde, la brisa más fría, la congoja más doliente del pájaro, la luz, más angustiosa, nos abren el sentido a la verdad... La hora había ya pasado. El alma ardía sola. |